La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé :
Gaulle (Charles de) - CDG - France libre |
| - | A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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| - | De "Sion", colline de Jérusalem.
Le sionisme est un mouvement politique et religieux, visant, par l'immigration de population juive, à l'établissement et puis à la consolidation d'un Etat juif en Palestine.
Pour en savoir plus, nous recommandons vivement la lecture d'une remarquable analyse déposée ici:
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Dans ce texte : De Gaulle anti catholique ? et Aron ? de Jacques Ghémard le mardi 10 juillet 2007 à 12h58
"J'attendais la France des cathédrales, et c'est celle des synagogues qui est venue".
Quelle virulente critique envers les catholiques, non ?
En 1967, toutefois, de Gaulle a rendu droit de cité à l'antisémitisme en France.
Ou à l'anti expansion du sionisme, au bénéfice du petit état d'Israël ?
Un passage qui me semble important, du livre de Raymond Aron :
Invectives contre Israël, plaidoyers pour les thèses arabes, demande du retour inconditionnel des troupes israéliennes sur leurs positions antérieures au 5 juin, toutes ces déclarations, personne ne l'ignore, appartiennent à cette pseudo-diplomatie qui se déroule dans le pseudo-parlement mondial. Que va-t-il se passer dans les coulisses du théâtre? Du 16 mai au 5 juin 1967, les amis des Arabes ont joué à qui perd gagne. Ils ont créé une conjoncture dans laquelle les Israéliens, prenant l'initiative des hostilités, ont bénéficié d'un appui populaire, même dans les pays dont les gouvernements les dénonçaient comme agresseurs. Aujourd'hui, qui sert le mieux les intérêts véritables et durables d'Israël, celui qui travaille au maintien du statu quo ou celui qui prépare dans l'ombre un règlement, au moins provisoire?
Autant que l'on puisse prévoir l'avenir, les États arabes ne tenteront pas une quatrième épreuve de force selon le style et avec les armes de 1948, 1956 et 1967 : chars d'assaut, aviation, désert, armes modernes et champs de bataille assurent à l'État de civilisation moderne un avantage décisif. Que la frontière entre Israël et la Jordanie se situe ou non sur le Jourdain n'importe guère. Le danger pour l'existence future d'Israël, vient de la minorité arabe à l'intérieur de l'État, minorité inassimilable et peut-être demain révoltée.
Aux Arabes, Israël ne peut refuser la citoyenneté sans trahir ses principes, il ne peut la leur accorder sans compromettre son être même de nation hébraïque - contradiction d'autant plus déchirante que la minorité arabe deviendra plus nombreuse. Les Israéliens et leurs amis joueront-ils, eux aussi, à qui perd gagne?
Et ça date de fin 1967, hein !
Amicalement
Jacques*** / *** |
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