Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

Joffre l'âne qui commandait des lions - Roger Fraenkel
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Royale - France 1940
-

La "Royale" désigne la Marine nationale dont l'Etat-major est installé rue Royale à Paris.... non sans quelques arrière-pensées....


13e DBLE - Treizième Demi Brigade de la Légion Etrangère - France libre
-

Ici, DB signifie demie brigade et n'a rien de blindé en dehors des estomacs. La 13e Demie Brigade de Légion Etrangère, (fugitivement 14e) fut constituée par des légionnaires revenus en Angleterre après leur succès en Norvège et qui s'engagèrent dans la France Libre à ses tout débuts. Il allait constituer une forte part de la 1e DFL et seront de tous ses combats, de Dakar à la Libération en passant par Bir Hakeim.
Historique de la 13e DBLE - Ordre de la Libération


DBLE - Demi Brigade de la Légion Etrangère - France
-

La 13e DBLE s'est illustrée de 1940 à 1945.
Voir 13e.

Dans ce texte :

La dynamique du carnage de Francis Deleu le samedi 18 novembre 2006 à 17h03

Bonsoir Cédric, bonsoir à tou(te)s,

*** Chaque jour sans tentatives (même coûteuse ou maladroite) de reconquérir le territoire perdu est un jour de gagné par l'ennemi (qui nous occupe) et un pas de plus vers une paix de compromis refusée par tous (et qui oterait tout sens aux sacrifices consentis) *** (13e DBLE)

Luc De Vos, professeur d'Histoire à l'Ecole Royale Militaire de Bruxelles ainsi qu'à l'Université de Louvain abonde un peu dans le même sens.
Verdun en est "bel" exemple ! Von Falkenhayn proposa de s'en prendre à une position française difficilement défendable si ce n'est au prix de lourdes pertes pour les assiégés. Verdun semblait satisfaire à cette condition. Cet avant-poste, en saillant de la ligne de front, pouvait être "mitraillée et bombardée" de trois côtés. Von Falkenhayn était convaincu que, pour l'honneur et pour ne pas céder un pouce de terrain à l'ennemi, la France sacrifierait ses soldats de manière tout à fait disproportionnée. On connaît la suite ! Les combats, assauts et contre-assauts pour un lopin de terre, se sont inscrits dans une dynamique qu'il n'était plus possible d'arrêter et ce, selon Luc De Vos, malgré les appels des chefs militaires à l'échelon local - aussi bien Français qu'Allemands - à mettre fin au carnage.

On en était arrivé à mesurer le rapport des forces en présence en terme de morts et de blessés. "Je les grignote" disait Joffre. Les autres ainsi que l'adversaire raisonnaient probablement de même . A quel prix en vies humaines ?

Bien cordialement,
Francis.

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.04 s  3 requêtes