 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Le calcul de Claire de Serge Desbois le samedi 18 novembre 2006 à 06h46
Le calcul de Claire
Une compagnie de 100 à 150 hommes était commandé par un capitaine.
Un bataillon de 500 à 600 hommes, par un commandant (chef de bataillon ou d’escadron ).
Un régiment par un lieutenant-Colonel ou colonel.
Un général de brigade commandait 3000 à 6000 hommes.
Tous ces hommes étaient dans les tranchées.
Les généraux de Division et de corps d’armée était un peu plus sur les arrières tout en étant à portée de canons. Et il ne faut pas oublier que ces derniers étaient de « Pépés » de 55 ans (pour l'époque) qui ne pouvaient pas monter à l’assaut de la colline 304.

Donc le compte de Claire y est : un officier pour 150 hommes et encore le chiffre de 300 000 hommes de mon estimation, était inférieur pour une période donnée de combats à Verdun.
Dire en tout cas que les capitaines et commandants n'étaient pas dans les tranchées n'a aucun sens.
La tombe du commandant Driant va se secouer bien fort ! *** / *** |
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