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A la vie à la mort, l'histoire du journal "Combat" - Yves-Marc AJCHENBAUM
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Combat - Résistance (France)
-

L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".


Frenay (Henri) - Résistance (France)
-

Fondateur de "Combat" premier mouvement de Résistance en Zone Sud.
Compagnon de la Libération - Biographie


Hardy (René) - Résistance (France)
-

Ingénieur SNCF, recruté par le mouvement "Combat", chef du NAP-Fer (Noyautage des Administrations Publiques - la SNCF.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


FFI - Forces Françaises de l'Intérieur - Résistance (France)
-

Créées par ordonnance du CFLN (Comité français de libération nationale) le 1 février 1944, les FFI réunissent, en principe, l'ensemble des mouvements de la Résistance intérieure. Le 28 août, après la Libération, le général de Gaulle décide leur incorporation dans l'armée régulière et la dissolution de leurs état-majors

Dans ce texte :

Garde ton calme Joe ! de Jacques Ghémard le lundi 10 février 2003 à 10h46

FD> Et Multon, l'homme aux cent camarades trahis, à ton avis il aurait aussi fallu, sous prétexte de courage antérieur, le faire juger, voire exécuter, par des résistants pur sucre ?

Plutôt que mon avis qui ne serait être très étayé, je redonnerai celui de Frenay :

***Si, comme des millions de Français, il était resté bien tranquille, chez lui, il n'aurait pas connu le risque d'être un lâche, et de trahir. Il aurait même été peut-être un brillant F.F.I. d'août 1944.

Oui, mais je le sais, je l'ai dit et cela ne peut pas, ne doit pas être autrement : l'homme est responsable et celui-ci, si pitoyable qu'il m'apparaisse aujourd'hui, est responsable de tant de supplices et de tant de morts...
- Multon, vous êtes venu remettre votre sort entre mes mains. Votre sort appartient à la justice et non à moi-même. Il est tracé…

Multon sera jugé et, quelques mois plus tard, fusillé.***

FD> D'autre part, qui mets-tu en cause quand tu déplores que la reconnaissance par Camus de la culpabilité de Hardy ait ajouté aux ennuis de Frenay ?

Ce n'est pas ce que je voulais dire. Frenay subissait beaucoup d'attaques injustifiée et celle liée à l'affaire Hardy s'ajoutaient aux autres, qu'elle soit justifiée ou non, et je comprends qu'il ait cherché à s'en prémunir, même si sur le plan historique je le regrette.

FD> Soupçonnes-tu une seconde que cet édito ait pu ne pas être une commande ?

Bin oui. Je prête à Camus suffisamment de personnalité pour agir de son propre chef et Frenay nous dit justement que, quand il a voulu faire passer des articles pour se défendre des attaques communistes, les portes de Combat se sont fermées.

FD> Qu'il soit le pavé de l'ours d'un Camus Rantanplan volant maladroitement, à son insu, au secours de Frenay ?

Ou au secours d'Hardy. Les gens épris de justices sont souvent des grands naïfs maladroits.

Jacques Rantanplan (à Joe Delpla)

*** / ***

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