Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

A livre ouvert ... - les contributeurs de Livres de Guerre
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")

Dans ce texte :

Hors-sujet de Nicolas Bernard le vendredi 16 juin 2006 à 19h41

J'écrivais le 6 novembre 2005 à François Delpla, sur Histoforums et dans le cadre d'un débat sur la mort de Himmler - débat qui a une fois de plus confirmé que la "thèse" du meurtre ne reposait sur rien (voir ), quoi qu'en dise son principal thuriféraire : "A chacune de mes remarques, tu te dérobes et postes un message d’ordre général, tenant à donner des leçons et distribuer des bons points, mais qui ne démontre en rien que j’ai tort sur le fond."

Le message précédent, intitulé "mise au point générale", confirme l'intégralité de mes propos. Vous ne répondez à rien, postez un message d'ordre général tenant à donner des leçons et distribuer des bons points, mais qui ne démontre en rien que vos - cette fois nombreux - contradicteurs ont tort sur le fond. C'est d'ailleurs votre manière d'agir, telle que je l'ai vue à l'oeuvre sur tous les forums de discussion où vous avez eu l'occasion d'intervenir. Personne ne démentira ce point.

Je vous suggère donc de revoir votre copie.

Je me contenterai de répondre à ce passage : "Ainsi je ne suis pas absolument certain d’avoir victorieusement combattu, dans l’esprit des visiteurs de bonne foi, l’affirmation émise il y a quelque temps suivant laquelle Roger Garaudy et Annie Lacroix-Riz, au demeurant fort peu complices, seraient pour moi tous deux des « références »."

1) Sur Garaudy

Vous vous réfèrez à ses écrits, enfin à l'un d'entre eux, dans ta biographie de Hitler. Rien de moins que son opuscule négationniste intitulé Les mythes fondateurs de la politique israélienne.

Selon vous, Garaudy avait raison contre tous les historiens "au moins sur un point", et était à même de leur donner, lui, un falsificateur antisémite, des leçons de méthodologie.

Citation : "Cependant, Garaudy avait raison sur un point : on n’a pas le droit de déduire les chambres à gaz, ou toute forme de meurtre de masse à l’arrivée aux camps, de la simple expression « solution finale », qui ne les implique pas nécessairement, et de dire que cette expression était entre les nazis un « langage convenu », où tout le monde entendait autre chose que l’extermination lente par le travail. Postuler cela, c’est déroger à la rigueur historique, qui exige qu’on avance pour preuve des textes qui vont dans le sens de ce qu’on affirme et non en sens inverse, au prix de considérations fumeuses sur le fait que précisément leur auteur veut dire le contraire de ce qu’il dit."

Le passage est accessible en ligne :

En d'autres termes, vous utilisiez le torchon de Garaudy pour donner, à votre tour, des leçons aux historiens...

Le problème est qu'ici, ladite affirmation fortement inspirée dudit torchon n'est qu'un bobard négationniste, à savoir que les historiens abuseraint de la notion de "langage codé", lequel existait d'ailleurs bel et bien :

Et vous récupérez à votre profit ce bobard pour mieux tabasser (bien à tort) lesdits historiens.

Pour faire bref : vous recyclez une affirmation frauduleuse dudit Garaudy. Et vous oubliez que Garaudy, conformément à la méthode négationniste, fait dire n'importe quoi aux historiens qu'il cite, ne prétend pas s'impliquer dans un débat avec eux mais s'efforce de distiller une propagande néo-nazie, manipule ses sources, falsifie les documents, en gros fait ce que tout négationniste sait faire : de l'anti-Histoire ( ).


2) Sur Annie Lacroix-Riz

Je souligne les passages clefs.

S'agissant de son article niant la réalité des crimes staliniens en Ukraine, vous écriviez qu'"en parcourant son article à partir du lien ci-dessus, je note au moins une bonne chose : elle apporte du neuf et de l'incontesté sur l'image de la famine ukrainienne en Occident, son exploitation par les uns, son occultation par les autres."

Tout en ajoutant : "Quant à l'"autre son de cloche", ukrainien, il me paraît participer d'une inflation mémorielle vengeresse discutable, comme la mode s'en répand à bien d'autres propos. Car enfin, la part de l'intention génocidaire dans cette catastrophe est assez floue et, ayant les Ukrainiens à leur merci pendant 70 ans, les stals ont été peu performants si tel était bien leur but."

Dans un autre message, vous admettiez : "Pour cerner les limites du travail cité d'Annie Lacroix-Riz ( ), je partirai du même exemple : elle ne souffle mot de ce virage britannique et c'est bien dommage, car il est idéalement placé dans le temps pour produire des conséquences en 1933, à la fois dans les disponibilités alimentaires en Ukraine et dans ce dont elle fait l'objet de son article, à savoir la propagande antisoviétique germano-vaticano-italienne."

Reproche hyper-bénin, car ce qui importe ici, c'est bien plutôt... l'existence de la famine en tant que telle, et les responsabilités écrasantes du Kremlin.

D'ailleurs, vous corrigez le tir aussitôt : "Elle apporte du neuf, disais-je, en la matière. Je n'ai pas dit du scoop -puisqu'elle cite des prédécesseurs- ni du sensationnel -insinuerait-on que je prônerais cela ? Elle fait simplement remarquer, en citant pour la première fois certaines archives du Quai d'Orsay, que la grande majorité des sources contemporaines parlant d'une gigantesque famine en Ukraine sont allemandes, catholiques ou italiennes, et que les diplomates français et britanniques restent sur la réserve même s'il leur arrive de relayer les sources en question."

Alors que ledit article n'est qu'un vulgaire torchon négationniste, aussi digne de foi que le machin de Garaudy.

Ce n'est pas faire de cette stalinienne une référence, ça ?

Ces remarques, je les ai déjà postées. Ici. Le 23 mai 2006. J'ai produit des citations, j'ai prouvé mes dires.

Voici la réplique de M. Delpla :

Ce qui clôt la démonstration.

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.09 s  3 requêtes