le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Prémisse n'est pas conclusion de françois delpla le dimanche 05 février 2006 à 07h33
***ne me demandez pas les sources! Je les ai mais j'ai la flemme de chercher!:)***
c'est dommage surtout pour les festivités armoricaines à l'annonce de la perte du Hood et il serait bon de faire un petit effort, histoire de nuancer : c'est toute la Bretagne qui se mobilise autour du schnaps de l'amitié ou seulement quelques régions, quelques couches sociales etc. ? Attitude des autorités vichystes ??
Pour le reste on vous croit aisément; rien à voir avec l'affirmation suivant laquelle Goebbels avait lancé une campagne de presse contre Eva Braun, ni avec l'érection du journaliste qui avait relayé ce bobard au rang de premier historien français du Führer.
C'est donc moins ici l'obscurité des sources qui fait problème que leur interprétation. En gros, l'armistice, avez-vous l'air de me dire, reprenez-moi si je me trompe, c'est déjà le renversement des alliances. Or à mon sens c'est un cheval, une alouette -ou une hirondelle qui pourrait faire le printemps mais ne le fait pas encore. L'armistice, c'est le retrait de la France de la guerre et c'est fait, hitlériennement parlant, pour apparaître comme tel. Mais le Führer lui-même y glisse quelques germes de renversement des alliances, comme celui que vous signalez sur les ports d'attache de la flotte.
Il est intéressant, notamment pour comprendre MeK, de savoir que cette clause avait fait hurler les négociateurs français de Rethondes, qui avaient répliqué que si le gros de la flotte revenait à Brest, Cherbourg et Lorient les Anglais la bombarderaient, et que Keitel, envoyé causer là-dessus avec le Führer, était revenu dire que celui-ci refusait la modification du texte écrit mais s'engageait oralement à laisser les navires stationner dans l'empire colonial français... d'où la localisation géographique de l'attaque du 3 juillet. (source ? il y a de nombreux récits des négociations d'armistice, par exemple celui de Kammerer)
Ce genre de demi-mesure était à mon sens destiné à faire plier les Anglais en montrant à la fois que l'Allemagne était "raisonnable" (elle ne demande aucun bateau français) et redoutable (elle peut exiger le retour à Brest si l'Angleterre s'obstine dans la guerre). des débats sur Mers |
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