 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : France Libre - France libre |
- | Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Sir (Basil Lidell Hart) - Grande-Bretagne |
- | Comme pour le Général Patton, je m'étonne de ne pas trouver mot sur ce grand écrivain, spécialiste des guerres mondiales.
Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.
FD
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Dans ce texte : Clivages dans la flotte à l'été 1940 ? de René CLAUDE le dimanche 25 décembre 2005 à 02h54
Bonjour,
Dans le second chapitre du DVD1, des marins de la flotte française fixée dans le port d'Alexandrie, futurs Français libres, racontent leur choix de la dissidence après la cessation des combats et la signature de l'armistice. A ce moment-là, il n'est pas encore question de rejoindre la France libre à Londres, mais on a l'impression que certains officiers supérieurs de la flotte facilitèrent le départ de leurs jeunes officiers (Patou a quitté son bateau dans les règles, salué par son chef)) alors que d'autres ne voulaient rien savoir et lmirent aux arrêts de rigueur ceux qui manifestaient le désir de partir en "dissidence" (Barberot). On sait qu'il faut toujours prendre les témoignages avec prudence, mais on peut comprendre qu'une confusion régnait alors chez les chefs de la flotte d'Alexandrie. C'est étonnant, car on nous présente généralement les chefs de la flotte à l'été 1940 comme étant favorables au nouveau régime de Pétain. Est-ce qu'il y avait des clivages, des sympathies cachées pour ces jeunes dissidents ?
Est-ce que Jean Simon en parle dans ses mémoires ?
Cordialement,
RC *** / *** |
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