Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

Les Français du Jour J - Georges Fleury
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


France Libre - France libre
-

Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


Kieffer (Philippe) - France libre
-

(1890 - 1962) Capitaine de frégate
Né aux Antilles, officier de réserve de la marine, Philippe Kieffer reprend du service en septembre 1930, à l'âge de 40 ans.
À la suite des opérations d'évacuation de Dunkerque, il rejoint Londres dès le 19 juin 1940 et s'engage dans les Forces navales françaises libres (FNFL) le 1er juillet 1940. Il est à l'origine de la création des commandos fusiliers marins en 1941, qui prennent part au raid sur Dieppe en août 1942.
En 1944, le 1er BFM (bataillon de fusiliers marins) est affecté à la 1re brigade du commando n° 4 de l'armée britannique. Philippe Kieffer commande ainsi les 177 premiers français qui débarquent le 6 juin 1944 en Normandie ; il s'illustre ensuite lors de la prise de Paris puis durant la libération des Pays-Bas.
Député en 1945, il décède des suites d'une longue maladie en novembre 1962.
[Source : Historia, Thématique, n° 89, mai-juin 2004, p. 28]
Compagnon de la Libération


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")

Dans ce texte :

une page et quelques exemples de Jacques Ghémard le mercredi 30 mars 2005 à 15h03

Bonjour,

Je viens de trouver cette liste de noms des 177 qui étaient 178 comme il se doit depuis Alexandre Dumas.

4 liens depuis 4 de ces noms :

Philippe Kieffer et aucun doute permi :

il passe en Angleterre, à Londres, le 19 juin 1940. Il s'engage aux Forces Navales Françaises Libres, le jour de leur création, le 1er juillet 1940.

Laurent Casalonga aucun doute non plus au vu de ses états de services :

21 juin 1940 : Rejoint l'Angleterre.
- 1er juillet 1940 : Engagé volontaire à 17ans dans la légion du Général DE GAULLE.
Ecole des Cadets de la France Libre.


Jean Couturier Là j'ai comme un doute :

A Alger, les relations avec les troupes alliées sont bonnes, sauf avec les Anglais dont l'attaque de Mers El Kébir n'attire pas réellement la sympathie des Français. "C'est pour cela, explique Jean Couturier, que les Britanniques portaient des tenues américaines à Alger, par mesure de discrétion. On peut dire qu'ils avaient à coeur de se faire oublier vis à vis de nous, nous ne leur avions pas pardonné cette attaque meurtrière. Inutile de vous dire que nous les attendions au virage, d'autant que nous étions, nous aussi, des marins..."...

En cette année 1943, notre homme se rend de plus en plus assidument chez sa tante Mme Roda dont la librairie du square Bresson est l'un des lieux de rendez vous des Gaullistes. Au mois de mai, il décide de partir pour l'Angleterre où il espère prendre une part plus active aux combats que chacun annonce... Ainsi, il fait partie de la petite troupe qui prendra en camion la route de Kérouan et d'Alexandrie

De là, un bateau les attend et les conduira en Angleterre par le canal de Suez. A la fin du mois de juillet, le port de Liverpool est atteint. Ils ne rejoindront pas aussitôt les Gaullistes car plusieurs officiers des services de renseignement Britanniques vont les questionner pendant dix jours, puis convaincus de leur bonne foi, les remettent aux représentants Français à Londres. La caserne Surcouf sera leur premier point de chute, avant de déménager via la caserne Bir-Hakeim.


Trop tard donc probablement pour signer avant le 1er août.

Augustin Hubert non !

Soucieux de servir la France, Augustin Hubert va s'engager dans les Chantiers de jeunesse. A la fin d'avril 1941, arrivé à Bir-BouRekba, il apprend rapidement à parler arabe. Il est enthousiasmé par son contact avec la population et les hommes de troupe locaux, et suit l'Ecole de Cadres des Chantiers de jeunesse. Peu après, toujours volontaire, il est affecté au chantier d'Afrique n°106, en Tunisie.

Avec le débarquement américain en Afrique du Nord, les événements s'accelèrent. Nommé chef de groupe. il est employé comme intructeur dans différents centres en Algérie. Accédant au grade supérieur en novembre 1943, il s'inscrit volontaire pour des missions spéciales. Retrouvant a Alger deux de ses frères qui servent dans l'armée d'Afrique, il embarque à bord d'un cargo, le 25 décembre 1943, en direction de l'Angleterre.


Si ce petit échantillon était représentatif de l'ensemble du commando, la moitié seulement des 177(8) seraient Français Libres.

Désolé Monsieur le Ministre, s'auriez mieux fait de citer, ... je sais pas moi, ... l'escadron Jourdier ?
Jacques

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.06 s  3 requêtes