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Histoire de Guerre - collectif
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


JRG - Jean-Robert Gorce
-

Initiales d'un contributeur hors du commun puisqu'il est à la fois hôte apprécié (sauf rares exceptions) de LdG, directeur de la rédaction et rédacteur en chef de la revue "Histoire de Guerre", auteur d'ouvrages historiques dont "La ruée des panzers - des Ardennes à la mer", ex-pilote de chasse....

Dans ce texte :

Existe-t-il donc des hommes tout à fait mauvais ? de Jean-Robert GORCE le mardi 19 octobre 2004 à 09h36

Bonjour Nicolas, bonjour tout le monde,

Désolé pour cette réponse tardive (rendez-vous de l'Histoire de Blois oblige).

Je crois que Nicolas fait, en effet, une fixation sur ce "malheureux" Irving ;-) Ce n'est pas bien grave, mais je trouve néanmoins que vous avez en général des jugements très (trop ?) tranchés sur certains auteurs : Irving, Chauvy, Baynac, etc., que vous condamnez sans tenter de trouver une quelconque circonstance atténuante. (Ceci dit, je suis mal placé pour vous le reprocher, ayant moi-même ma cible favorite, que d'ailleurs vous venez de mettre minable sur un forum concurrent sans que je puisse participer à la curée... :-( )

Je ne peux néanmoins que vous féliciter de tenter de démasquer les pseudos-historiens dont la méthode consiste à partir de la conclusion à laquelle ils veulent arriver, puis de torturer les documents pour leur faire dire ce qu’ils désirent, voire d’éliminer subrepticement les archives récalcitrantes qui, décidément, ne veulent rien avouer de très favorable...
Le problème, à mon sens reste d’établir une classification de la capacité à nuire de ces personnes. Et sur quels critères le faire ?
Prenons deux exemples :
Un auteur, nous l’appellerons X, qui déforme de manière grotesque une vérité (exemple l’holocauste) que 99,99 % des personnes censées notre terre s’accordent à placer parmi les pires horreurs perpétrées depuis que l’homme est homme, n’est pas le moins du monde crédible… donc finalement pas très dangereux.
Un autre auteur, nous l’appellerons Y, qui va venir nous expliquer que ses théories fumeuses, bien souvent sur des sujets dont tout le monde se contrefout, ne peuvent qu’être vraies puisque aucun document ne vient les contredire et que donc s’il n’y a pas de dits documents c’est forcément qu’on les a détruits parce que cette vérité, que lui seul a réussi à exhumer, il y a des méchants qui ont des intérêts énormes à la dissimuler et que, oui mais non, il y a forcément un complot contre lui puisque personne ne veut reconnaître qu’il a raison et que c’est vrai, oui mais non, qu’en 1909 à Vienne, Hitler avait déjà prévu d’arrêter ses panzers devant Dunkerque… est-il crédible ? Pas plus.
Faut-il pour cela mettre X et Y dans le même panier ? Je ne le crois pas. Leur point commun reste de se prétendre historiens et de n’être que des mystificateurs. Leur différence essentiells, c’est que, par les sujets qu’ils abordent, X ne donne pas envie de rire, alors que Y nous procure régulièrement des occasions uniques de « bidonnages » collectifs…

Bon sérieusement, vous connaissez sans doute mieux que moi le cas David Irving. Mais, si ce que vous avancez sur le personnage est véridique - et je n'ai pas de raison de mettre en doute ce que vous dites, vous - il me parait alors fort regrettable que des historiens de référence, comme entre autres Kershaw, citent ses travaux à longueur de bouquin. Comment expliquez-vous ce phénomène ?

Bonne journée,

JRG

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