En tant que "gros" lecteur de biographies, je redoute les auteurs qui, par enthousiasme, en viennent à perdre la distance nécessaire entre eux et le sujet de leur passion... Est-il possible, involontairement, de ne pas être grignoté par la sympathie en rapportant le vie et les choix d'un homme ou d'une femme qui ont parfois causé le malheur de leurs contemporains et particulièrement dans les temps de guerre et de révolution ?
Amicalement,
René |