Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

Histoire d'une falsification / Jean-Marc Berlière, Emmanuel de Chambost et rené Fiévet

En réponse à -8 -7 -6 -5 -4 -3 -2
-1Merci de Emmanuel de Chambost

Best, the best to realize.. de françois delpla le jeudi 02 février 2023 à 07h15

Dans mon auto-flagellation continuelle et croissante, je m'en veux beaucoup d'avoir mis tant de temps à décrypter le rôle essentiel de Werner Best pendant tout le Troisième Reich et même avant (documents de Boxheim, 1931 : il intrigue déjà, cul et chemise, avec Hitler).

Avant d'écrire Hitler et Pétain, j'avais compris depuis peu que sa brouille mortelle avec Heydrich au premier semestre 1939 n'était qu'un argument de défense dans les procès d'après guerre (où il sauve sa tête d'extrême justesse), lui permettant notamment de présenter sa nomination à Paris (n°3 de l'administration militaire, de l'été 40 à l'été 42) comme un purgatoire et un placard.

Trouvant sa signature dans maints dossiers des riches archives de Pierrefitte sur cette administration, j'ai eu l'idée un matin avant de partir de relire les notes de la bio par laquelle Ulrich Herbert avait fait connaître le personnage en 1996, pour voir quels cartons il avait utilisés. Réponse : aucun ! il n'était même pas allé à Paris et n'aurait pu montrer plus éloquemment qu'il croyait à la thèse de la placardisation. Témoin la recension de Francia clic (1998) qui explique que seule la mort d'Heydrich lui a permis de retrouver, au Danemark, un poste important.

Rien n'éclaire mieux son rôle qu'une archive le montrant, en février 42, informer Brinon qu'il faut remplacer Vallat par Darquier. Il se réclame alors de "pouvoirs spéciaux conférés par le Führer", passant sans vergogne au-desus de la tête d'Abetz, de Knochen, de Dannecker et de son propre supérieur militaire, Karl Heinrich von Stülpnagel. Cela s'emboîte assez bien, et avec Wannsee, et avec la rafle du Vél d'hiv.

*** / ***

lue 513 fois et validée par LDG
 
décrypter

 

Vous pouvez répondre ici

Votre prénom et votre nom ou pseudonymeobligatoire !

Titre du message


sélection en gras, italique, souligné, paragraphe, "citation", lien

Adresse d'une image sur Internet Aide
Adresse d'une page Internet
Titre éventuel de cette page
InfoQuestionRéponseInfo. et quest.MerciPas de texteHumourInclassable

Cliquez sur une icône pour envoyer le message

 

Participer à l'ensemble du débat sur Histoire d'une falsification

Pour contacter les modérateurs : cliquez !

contribution.php bidouillé par Jacques Ghémard le 8 9 2010  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes