Lorsqu’ils envahissent l’Union soviétique en juin 1941, les Allemands ont la désagréable surprise de découvrir le T-34. Et force est de reconnaître qu’ils ne savent trop que faire des centaines d’exemplaires tombés entre leurs mains : leurs évaluations en ont révélé les qualités, mais aussi les faiblesses, rédhibitoires doctrinalement pour la Panzerwaffe. Néanmoins, ces Beute vont rendre de grands serviced à leurs nouveaux propriétaires qui les utiliseront en nombre au feu !
par Przemek Skulski.

Le 15 mai 1940, la 4e DCr du général de Gaulle reçoit l’ordre d’assurer une mission de couverture pour faciliter le déploiement de la 6e armée face à la ruée des Panzer. Ses chars B1bis, Renault D2 et R35 vont opérer un spectaculaire bond en avant qui, malgré les pertes, perturbera quelque peu le dispositif de la 1. Panzer-Division, avant que celle-ci ne se ressaisisse et n’oblige la division cuirassée au repli. Récit d’un combat blindé parmi les plus importants de la campagne de l’Ouest.
par Sylvain Ferreira.

Avril 1945, l’Armée rouge s’approche de la capitale du III. Reich. Staline met un point d’honneur à conquérir par la force Berlin et lance ses divisions à son assaut. De leur côté, les Allemands résistent au maximum de leurs possibilités pour retarder la chute finale. En pointe des combats, les Tiger II de la schwere SS-Panzer-Abteilung 503 rassemblent leurs dernières forces face à des Soviétiques au faîte de leur puissance dans un combat perdu d’avance, mais dont la violence est sans précédent.
par Laurent Tirone.

En août 1945, après avoir terrassé la Wehrmacht à Berlin, l’heure est venue pour l’Armée rouge de retourner ses forces en Extrême-Orient contre le Japon. Trois Fronts sont rassemblés en un temps record aux frontières de la Mandchourie où stationne l’armée du Kwantung, qui, outre de n’aligner que des chars dépassés, n’est pas de taille à s’opposer au déferlement soviétique. De fait, l’offensive du maréchal Vassilevski va s’apparenter à une véritable promenade de santé...
par Sylvain Ferreira.

En 1944, pour tenter de compenser la supériorité numérique alliée, l’Armée allemande met en service un petit chasseur de chars de 16 tonnes équipé d’un canon de 7,5cm, le Jagdpanzer 38(t). Pour leur part, les Soviétiques ont développé un adversaire à la hauteur des blindés lourds ennemis : le JS-2. Avec son canon de 122 mm, ce mastodonte est tout à fait à même d’affronter les surpuissants Tiger II. Alors quand le léger Jagdpanzer 38(t) rencontre le « monstre » soviétique, la cause paraît entendue... ou pas.
par Laurent Tirone.

• Le futur du char de combat
• Les djihadistes de l’EI ont trouvé le point faible des chars Leopard 2A4 turcs
• Le déploiement en Pologne d’une brigacde blindée américaine
• Actualité du livre
par Laurent Tirone.