En fait il faudrait vraiment lire le rapport. Abusé ça m'étonne quand même en 1944 alors que l'Holocauste était déjà largement connu depuis en tout cas 1942.
Et puis que pouvait dire le délégué ? Qu'il avait à ce moment vu des horreurs ce que ne voulait en tout cas pas les détenus qui, comme le souligne Murmelstein, s'activaient à embellir leur camp. Et si, et si le délégué avait compris cela ?
Quoi qu'il en soit même si ce fut une erreur on n'a pas le droit de discréditer tout le travail accompli par le CICR et tous les risques pris par les délégués. Des erreurs ont été commises partout y compris par les grands. Au moment de la révision, dan les années 90, le CICR ça n'a été que ce fait.
Au passage merci François de débattre, que ça nous manque en Suisse... |