Je perds un ami et un soutien, en particulier de mes travaux sur les débuts du gaullisme en juin-juillet 40 : nous ferraillâmes de concert contre le concert... vatisme.
Et quel parcours !
Dans sa studieuse retraite, il avait porté un coup très sévère aux légendes d'une France désarmée et mollassonne en 1940, ouvrant la voie à la prise de conscience pleine et entière de l'habileté qui, chez Hitler, cohabitait avec la folie.
Il avait aussi refusé de hurler avec les loups contre le couple Aubrac. |