Au sommaire du n° 31 - Trucks & Tanks - forum "Livres de guerre"
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Trucks & Tanks / Collectif

 

Au sommaire du n° 31 de Francis Deleu le lundi 23 avril 2012 à 16h58

+ Camouflage - Les camouflages des T-34 soviétiques
Les engins soviétiques, dont le plus célèbre d’entre eux, le T-34, sont généralement peints en vert olive à la sortie des chaînes d’assemblage. Durant les mois d’hiver, les T-34 sont souvent recouverts d’une livrée blanche ou gris pâle. Des variations apparaissent parfois d’une usine à l’autre en fonction des stocks de peinture utilisés. Si le vert prédomine, des camouflages deux ou trois tons peuvent être appliqués, bien que cette pratique reste assez rare...
+ M18 Hellcat - La vitesse ne suffit pas !
À première vue, le Tank Destroyer M18 Hellcat Gun Motor Carriage ne se différencie que peu de ses frères d’armes. En effet, il est, comme eux, doté d’une tourelle ouverte sur le dessus, et son blindage est tout juste capable de stopper la « ferraille » du champ de bataille. Néanmoins, tirant parti de son moteur développant 400 chevaux et de son poids mesuré, il atteint les 95 km/h en pointe ! Mais cette extraordinaire vélocité suffit-elle à compenser son canon de « seulement » 76 mm ?
+ « Pérou » - Les obusiers de 200 mm sur voie ferrée Schneider
En 1914, les canons lourds sur voie ferrée normale, appelés à connaître un fantastique essor pendant la guerre, sont absents des arsenaux des belligérants. Seuls quelques trains blindés et des canons de moyen calibre montés sur affûts-trucs existent en faible nombre, mais leur rôle, dans les plans des états-majors, reste encore confiné à la guerre de forteresse ou à l’appui direct de l’infanterie dans certaines circonstances de la guerre de siège. Pourtant, des esprits novateurs avaient envisagé depuis longtemps l’intérêt que pourrait jouer le chemin de fer en qualité de vecteur de gros canons possédant une excellente mobilité stratégique que l’artillerie classique était loin de posséder.
+ Dossier : le paradoxe allemand - État des lieux de la Wehrmacht - 2e partie
Faute d’un tissu industriel aussi important que celui de ses deux principaux adversaires, USA et URSS, le III. Reich doit se résoudre à recycler nombre de matériels obsolètes ou de prise pour tenter de faire face. L’ingéniosité dont font preuve les Allemands pour combler les carences de leur économie finit toutefois par montrer ses limites, car la politique consistant à faire « flèche de tout bois » ne permet pas de développer des équipements homogènes. C’est d’ailleurs là un des paradoxes de la Wehrmacht qui, à côté de matériels de premier ordre, alignent des véhicules remaniés qui peuvent apporter plus de problèmes qu’ils n’en résolvent.
+ T-50 - L’échec du char universel
Durant l’entre-deux-guerres, le complexe industriel soviétique fait la part belle à la production du T-26. Toutefois, sa conception datant du début des années 1930, les autorités russes considèrent que ses limites techniques sont atteintes. Le directoire militaire en charge des véhicules et des engins de combat propose alors de le remplacer par un blindé capable de prendre à partie les machines adverses, d’effectuer des reconnaissances et, enfin, d’appuyer l’infanterie. Un ensemble de qualités qui doit, à termes, permettre à ce nouveau venu de devenir un char « universel » apte à remplacer l’ensemble du parc des blindés de l’Armée rouge.
+ M109 155 mm - Le paladin de l’US Army
Après un quasi-demi-siècle de carrière, le Self-Propelled Howitzer M109 est toujours présent dans les rangs de l’Armée américaine. Série d’automoteurs d’artillerie la plus utilisée dans le monde depuis 1963, date de leur entrée en service, les M109 ont été de tous les conflits, des jungles du Viêtnam au désert irakien, sans oublier les guerres israélo-arabes. Engin devenu presque mythique avec le temps, il est aujourd’hui régulièrement dépassé par les nombreux concurrents qu’il n’a pas manqué d’inspirer. Souvent pressenti pour un départ à la retraite, le M109 reste pour le moment systématiquement remplacé par… un M109 amélioré ! En effet, les conflits modernes nécessitant de moins en moins d’artillerie lourde très mobile, ils ne plaident pas pour un changement de cette politique.
+ Comparatif : Renault R35 vs. Panzer 38(t)
Mai 1940, les Panzer-Divisionen déferlent sur la France. À cette date, la Wehrmacht compte 207 Panzerkampfwagen 38(t) qui sont, de loin, les meilleurs blindés légers en dotation. Ces engins ont fait leurs preuves durant la campagne de Pologne, en septembre 1939, et ils affrontent maintenant une des meilleures armées du monde. Cette dernière dispose également d’appareils légers modèle 1935 R, plus connus sous la désignation de Renault R35. Au 1er avril 1940, 945 R35 sont disponibles sur le sol européen. Certes, leurs philosophies d’engagement diffèrent, l’appareil français étant développé, suite à un concours datant de 1933, comme véhicule d’infanterie. Toutefois, certaines caractéristiques les rapprochent, comme le calibre de leur armement, des canons de 37 mm ou leur masse avoisinant les 10 tonnes. Et il ne fait aucun doute que le R35 a combattu les 6., 7. et 8. Panzer-Divisionen, dont une bonne partie des effectifs est constituée de chars d’origine tchèque.

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