Au sommaire du n° 29 - Trucks & Tanks - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

Trucks & Tanks / Collectif

 

Au sommaire du n° 29 de Francis Deleu le jeudi 22 décembre 2011 à 21h22

+ Panzer en Normandie - Le grand gachis
La puissance des chars allemands n’est plus à démontrer. Avec leurs canons de 7,5cm et de 8,8cm, les Panzer IV, les Panther et autres Tiger sont capables de toucher leurs adversaires à longue distance. Par ailleurs, les fauves germaniques sont dotés d’une cuirasse susceptible de mettre en échec la quasi-totalité des projectiles adverses. Conçus pour le front de l’Est, ils sont globalement supérieurs aux productions ennemies. Pour autant, ces engins sophistiqués sont-ils à la hauteur du défi représenté par le débarquement des Alliés dans une Normandie bien différente des steppes russes ?
+ Sd.Kfz. 250/3 - Le coordinateur des Panzer
« Rapidité de jugement, capacité de créer des situations nouvelles et des surprises plus vite que l’ennemi ne peut réagir. Absence de dispositions arrêtées à l’avance, telles sont les bases de la tactique dans le désert. » Voici la doctrine du général Rommel en Afrique du Nord. Si ces manoeuvres audacieuses vont donner bien du fil à retordre aux Alliés, elles n’auraient pas permis d’aussi bons résultats sans la présence de son « Greif », un Sd.Kfz. 250/3 de commandement. De nombreuses vues en trois dimensions mettent en valeur un « griffon » bien particulier.
+ Sturmgeschütz IV - Un Stug à tout prix
Le Sturmgeschütz III est l’archétype du blindé polyvalent. Né canon d’assaut, il évolue en fonction de la situation tactique, devenant chasseur de chars ou se substituant au pied levé aux Panzer dont la Wehrmacht manque cruellement. Pour autant, sa conception remonte à l’avant-guerre et au fur et à mesure que le conflit avance, ses archaïsmes, à l’exemple de sa cuirasse verticale, se font de plus en plus criants. Par ailleurs, après l’installation d’un 7,5cm lang, son armement n’est plus en mesure d’évoluer. Un successeur est dans ces conditions mis en chantier : le Sturmgeschütz neuer Art. Néanmoins, les Alliés vont bouleverser ce programme en bombardant les sites de production du StuG III avant que le nouveau modèle ne soit prêt. Les Allemands sont donc contraints de développer dans l’urgence une machine capable d’être déployée dans les Sturmgeschütz-Brigaden, les Panzerjäger- Abteilungen ou les Panzer-Regimenter !
+ T-28 - Incarner les ambitions du Kremlin
Le char de rupture T-28 est, à bien des titres, une exception dans la prolifique lignée des chars russes. Premier blindé moyen assemblé en série par l’Union soviétique, premier et dernier engin multitourelle produit en grande quantité au monde, le T-28 symbolise tous les espoirs que porte Moscou dans son Arme mécanisée. Prometteurs, les « tanks » restent néanmoins un domaine réservé aux grandes puissances occidentales, elles-mêmes incertaines de la stratégie à adopter en présence de ces nouveaux véhicules. Rejetée de toute alliance et coopération militaire, c’est seule, ou presque, que l’URSS doit concevoir son futur « cheval de bataille ».
+ M1978 Koksan - Le joker de Pyongyang
Les riches pays industrialisés ne sont pas les seuls à mettre au point des systèmes d’armement lourd. Des nations considérées comme « mineures » sur le plan de la « Recherche & Développement » sont également présentes sur un créneau aussi stratégique. Grâce à cela, leurs gouvernements espèrent ne plus dépendre du bon vouloir de leurs fournisseurs. D’autre part, ils présentent des produits sur le très lucratif commerce des ventes de matériels militaires. Certes, leurs réalisations ne peuvent être comparées aux équipements dernier cri assemblés par les firmes occidentales ou russes, mais leur simplicité même est un argument de poids pour des armées sans gros budget ou dotées de personnels peu formés.
+ KV-IB 755(r) - Un KV-1 à la sauce germanique
Afin de compenser les pénuries de matériels, les Allemands modifient des engins de prise pour leur propre usage. Le char lourd soviétique Kliment Voroshilov n’échappe pas à ce recyclage militaire.
+ Les draisines française de reconnaissance - Un programme peu connu de l'entre-deux guerre
Après la Première Guerre mondiale et en se fondant sur les expériences des anciens adversaires, la nécessité de disposer de moyens de reconnaissance sur voie ferrée entraîne une demande de l’état-major pour deux types de draisines : un engin de reconnaissance léger, dès 1924, et un engin blindé, en 1927. Le premier répond à un besoin, mais n’envisage pas que le combat puisse être mené à partir de son bord, tandis que le second est la troisième expérimentation réelle réalisée sur le territoire national, les autres étant le « train blindé prototype », issu des travaux de la commission des wagons blindés à la fin du XIXe siècle, et le « train blindé de 95 », construit par la compagnie des Batignolles en 1914.
+ Comment ça marche - Le mortier d’infanterie
En dépit de son aspect pour le moins « banal », le mortier d’infanterie est l’une des armes les plus meurtrières de la Seconde Guerre mondiale. Peu coûteux, facile à transporter, il offre aux fantassins un appui feu rapide, que les pièces d’artillerie classiques, tractées ou motorisées, sont bien incapables de fournir. Sa caractéristique principale est de tirer sous un angle de plus de 45°, assurant au projectile une trajectoire de chute proche de la verticale. Dès lors, le mortier est idéal en terrain accidenté, contre des tranchées ou des troupes abritées.
+ Comparatif - P26/40 vs M4A1
Au grand dam de l’Armée anglaise, lorsque le Carro Armato M13/40 débarque sur le continent africain à l’automne 1940, il se révèle supérieur, techniquement parlant, aux Crusaders, pourvus d’un canon de 2-Pdr (40 mm). Toutefois, l’industrie anglaise a les capacités de réagir, et l’installation d’un 6-Pdr (57 mm) change la donne. Cette fois, le blindé italien est surclassé en termes de puissance de feu. Par ailleurs, les États-Unis entrent à leur tour dans le conflit et expédient des tanks plus modernes et fiables, à l’instar des Medium Tanks M3. Il est vrai que les Grant sont mieux armés, correctement protégés et bien motorisés. Tout n’est cependant pas parfait pour les tankistes alliés, car le char US souffre de restrictions tactiques entachant son déploiement. De fait, sa pièce de 75 mm positionnée en encorbellement et sa haute silhouette sont autant de handicaps, notamment en milieu désertique. Par la suite, l’arrivée sur le sol africain du M4 General Sherman et de son tube de 75 mm placé en tourelle est une bien mauvaise nouvelle pour Rome. Cette fois, le Carro Armato M13/40 est complètement surclassé. De manière à compenser la montée en puissance des matériels alliés, la conception d’engins plus performants s’impose.

*** / ***

lue 4424 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes