De cela on est aujourd'hui certains. de René CLAUDE le mardi 19 avril 2011 à 22h22
Reste la question de la marge de manœuvre à cette époque et à ce niveau dans le IIIe Reich. On sent le fidèle Rudolf devenu - comment dire ? - un peu périphérique* dans la structure du pouvoir hitlérien.
Une question est liée: les services secrets britanniques ont-ils pu pénétrer aussi avant les cercles politiques, mystiques, pangermanistes dont certains leaders appartenaient au premier cercle de Hess sans l'aval du führer via le SD qui surveillait ces gens de près ?
RC
* On peut aussi être tentés d'y voir une sorte de mise en scène médiatique. (Il ne faut jamais oublier les compétences nazies dans ce domaine.)