Au sommaire du n° 23 - Trucks & Tanks - forum "Livres de guerre"
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Trucks & Tanks / Collectif

 

Au sommaire du n° 23 de Francis Deleu le mardi 11 janvier 2011 à 14h33

+ Comment ça marche ? - Le souffle du Tiger I
Outre le carburant, un moteur a besoin pour fonctionner d’une alimentation en air en guise de comburant. Quand l’engin en question est un 12 cylindres en V Maybach HL230 développant 700 chevaux à 3 000 tr/min, cela représente un débit d’aspiration théorique de plus d’un mètre cube par seconde. Cette quantité d’air doit être filtrée et mise à température avant d’être injectée dans l’énorme carburateur. À ce flux, il convient d’ajouter l’évacuation des fumées de tir, l’arrivée d’air pour l’équipage et pour finir le refroidissement de la boîte de vitesses. Enfin, le char lourd doit aussi pouvoir respirer sous l’eau ! C’est ces gageures techniques que les ingénieurs de Henschel ont dû résoudre pour permettre au moteur de leur Panzer VI Ausf. E Tiger de gronder sur les plaines russes.
+ Panzer IV Ausf. H & J - L’âge de la maturité
Conçu en 1935, le Panzerkampfwagen IV connaît une longévité exceptionnelle avec une production qui ne s’arrêtera qu’à la fin du conflit. Constituant l’épine dorsale de la Panzerwaffe, il combat sur tous les fronts ; des déserts d’Afrique aux steppes russes en passant par le bocage normand. Sa plate-forme souple d’emploi et capable d’accepter de nombreuses modernisations lui permet de suivre la course à l’armement que se livrent les belligérants et, en 1944, l’engin aura atteint sa pleine maturité. Mais est-il pour autant toujours à la hauteur de ses adversaires ?
+ M26 « Dragon Wagon » - The onster Truck
La course à l’armement que se livrent les différents belligérants durant la Seconde Guerre mondiale pousse les militaires à déployer des matériels toujours plus performants, notamment dans le domaine des engins de combat qui voient leur cuirasse s’épaissir et leur armement adopter des calibres conséquents. Corollaire direct de cette inflation, les véhicules de dépannage ne possèdent plus les performances suffisantes pour évacuer les chars en panne ou endommagés. Confrontée à ce problème, l’US Army cherche, dès septembre 1941, à acquérir un ensemble tracteur et semi-remorque destiné à récupérer les « tanks » immobilisés.
+ Dossier : L'héritage de la Panzerwaffe ... dans la Bundeswehr
Avec la fin de la Seconde Guerre mondiale s’ouvre une nouvelle ère. Désormais, les pays occidentaux font face à la menace représentée par le Bloc de l’Est et son arsenal colossal estimé, du temps de son apogée, à plus de 50 000 chars d’assaut. Afin de contenir le choc, la nouvelle Bundeswehr cherche à acquérir les matériels les plus efficients. Quoi de plus logique alors que de reprendre des concepts ayant fait leurs preuves, au sein de la Wehrmacht, dix ans plus tôt. Modernisés grâce aux avancées technologiques, les Jagdpanzer IV, les Puma, les Kätzchen et autres Flakpanzer IV sont les ascendants des systèmes d’armes qui feront face au Bloc communiste.
+ Objekt 279 - Né de l’atome
La mobilité sur sol meuble a toujours été le point fort des blindés soviétiques. Bien aidé par sa suspension Christie et des chenilles larges, le T-34 a régulièrement surclassé ses adversaires en tout-terrain. Pourtant, les chars russes souffrent, eux aussi, de la surcharge pondérale induite par la nécessité de disposer de cuirasses épaisses et de pièces d’artillerie au calibre toujours plus important. Malgré une pression massique encore raisonnable, les 48,8 tonnes d’un IS-3M le rendent pataud, et désespérément lent, lorsque le sol se transforme en un cloaque bourbeux ou neigeux. Comble de l’horreur pour Moscou, le climat parfois extrême maintient des secteurs entiers du territoire national inaccessibles aux véhicules frappés de l’étoile rouge, laissant l’infanterie se débrouiller seule face à un éventuel envahisseur. La solution à tous ces maux passe par la mise en chantier d’un « tank » capable de se porter dans des zones où l’ennemi ne l’attend pas.
+ Type 94 TK - Tokushu Keninsha
A la sortie de la Première Guerre mondiale, les nations européennes sont les seules à réellement maîtriser à la fois l’assemblage des chars de combat et leurs tactiques d’emploi. Certes, les concepts sont nouveaux et les errements de la pensée militaire nombreux ; mais, faute d’alternative, les autres armées imitent largement des théories développées par l’Angleterre ou la France, car leurs états-majors respectifs jouissent de solides connaissances dans ce domaine. Les leçons tirées n’ont pas toujours abouti à des engins ayant une réelle valeur opérationnelle, cependant, dans les années 1920, les pays voulant se doter de blindés afin d’équiper leurs forces mécanisées balbutiantes n’ont pas le choix et doivent partir des réalisations du Vieux continent. Le Japon n’échappe pas à cette réalité.
+ Comparatif : StuG 40 Ausf. G vs SU-85
Le Sturmgeschütz 40 Ausführung G et le Samakhodnaya Artileriskaya Ustanovoka 85 sont deux engins résultant de la course à l’armement que se livrent la Wehrmacht et l’Armée rouge dès l’opération « Barbarossa », lancée le 22 juin 1941. Le canon d’assaut allemand répond donc à la menace représentée par le T-34/76, tandis que le chasseur de chars russe, issu du châssis de ce dernier, tente de contrer le Panzerkampfwagen VI Ausführung E Tiger, apparu fin août 1942 dans le secteur de Leningrad, lui-même destiné à s’opposer aux myriades de « tanks » bolcheviques ! Dénuées de tourelles, les deux machines ne sont que les vecteurs de pièces aptes à détruire leur adversaire respectif. Par conséquent, le StuG 40 intègre un tube de 7,5cm lang et le SU-85 un 85 mm dérivé d’une arme antiaérienne. Conçues toutes les deux à partir de plates-formes de blindés moyens, ces machines ont donc vocation à contrebalancer la supériorité acquise par l’un ou l’autre des belligérants. Il est alors légitime de se demander laquelle était la plus réussie.

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