Pas d'inquiétude, je conviens tout à fait que mes H.S. sur Barbarossa puissent être discutés, mais l'auto-citation, outre de faire partie des petites joies du métier, m'a surtout permis d'éviter de saturer l'article de références bibliographiques en langues étrangères (contrairement aux apparences, je n'y ai intégré que le minimum vital), en particulier sur la thématique de Barbarossa vue comme une offensive préventive, sujet qui m'intéresse beaucoup depuis déjà ... longtemps.
En revanche, je n'ai pas l'impression de m'être attaqué à la personnalité des auteurs (je ne m'attarde, d'ailleurs, pas sur le cas bien connu ici d'Olivier Pigoreau, alors qu'il y aurait beaucoup à dire). Mon intention était surtout de rappeler qu'ils véhiculaient un discours historique dépassé et tendancieux, celui de la "cause perdue". Rappeler à cet égard, et de manière très synthétique, le parcours d'Eric Lefèvre ne m'a paru intéressant que dans cette logique.
Je compte également recenser L'armistice était indispensable, dont le titre, déjà , suscite mon désaccord. Mais si vous voulez ajouter votre recension sur le site de l'Histobibliothèque, vous êtes le bienvenu ! |