... que la suppression d'un mot mais aussi une inversion, entre sueur et larmes.
Outre la négligence, assez ahurissante, une autre leçon se dégage : on ne veut retenir que le fait que Churchill annonce des emmerdements au lieu du jardin de roses des politiciens habituels. Alors que le message est autre, et qu'il s'agit d'une constante du discours churchillien : on souffre mais on ne se laisse pas abattre et par l'effort on s'en tire. Après le sang, le labeur, après les larmes la sueur. |