Je n'ai jamais dit que Vichy ait ignoré jusqu'à la fin le sort tragique des Juifs puisque j'ai cité le témoignage de Maurice Martin du Gard qui montre le contraire.
Je ne vais pas le répéter : ce serait du psitacisme.
J'ai dit, qu'à l'été 42, la lettre ou le mot de Helbronner sur ses vacances, comme l'objurgation de Tuck, comme la démarche des assistantes sociales de Bordeaux, montrent à l'envi qu'on a cru pendant un temps à la fable des colonies agricoles en Pologne.
Or, c'est en 42 qu'eurent lieu les rafles reprochées à Vichy. |