Le Time - Sep. 28, 1942 et traduction Google

Pierre Laval a dû remonter dans le Moyen Age pour se justifier. Dit-il: «Je demande seulement aux Juifs le même traitement prescrit il ya des siècles [l'Inquisition] par l'Eglise catholique".
Laval a dit qu'il n'avait pas l'intention d'étendre les lois antijuives de ses maîtres allemands (en particulier la France port de l'étoile jaune de David) à inoccupés. Mais il insiste: "Aucun homme et rien ne peut me détourner de ma détermination à débarrasser la France des Juifs étrangers et de les renvoyer là où ils sont originaires."
Si les Juifs sont morts dans des wagons couverts scellés et les camps de concentration, qui a fait peu de différence à Laval. L'avez fait à prélats catholiques de Toulouse et Lyon.
Des copies de la lettre pastorale éloquent (TIME, 21 sept.) de Mgr Jules Saliège de Toulouse passé de la poche à l'. A Lyon, le cardinal Pierre Gerlier maintes fois protesté contre les déportations de masse, et un "Christian Amity" groupe prêché la tolérance pour tous. Laval ordonné au père Chaillet, leader du groupe, l'internement dans une résidence fixe à Privas.
"Je prends pas de leçons de l'humanitarisme à partir de n'importe quel pays,« sniffée Laval. Mais en fin de semaine, il avait appris une leçon: même la fois réactionnaire, fasciste Croix de Feu (Cross of Fire) a été dégoûté de lui. Charles Vallin , vice-président de l'Ordre, a retiré son soutien à la Pétain-Laval «Révolution nationale» et a fui vers l'Angleterre. Vallin allé avec Pierre Brossolette, socialiste, rédacteur en chef, longtemps actif dans l'underground français. Une fois amers ennemis politiques, les deux hommes ont été cité à l'ordre au cours de la bataille de France, maintenant ils ont été engagés à travailler côte à côte avec le général Charles de Gaulle. Leur but commun: la libération d'une France qui (dans les paroles de Mgr Saliège) une fois préservé "Le respect traditionnel de la personne humaine» dans «la conscience de tous ses enfants»."