Au sommaire du n° 14 - Trucks & Tanks - forum "Livres de guerre"
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Trucks & Tanks / Collectif

 

Au sommaire du n° 14 de Francis Deleu le samedi 04 juillet 2009 à 19h40

+ SEXTON - Un sacristain de choc !
Bien que n'étant pas vraiment à la pointe du progrès en matière d’arme blindée pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Armée britannique ne manque pas de tirer de précieuses conclusions de ses premières expériences contre les Panzer-Divisionen. L’une d’elles, qui se fait particulièrement jour en Afrique du Nord, est l’utilisation par les Allemands de pièces d’artillerie automotrices chenillées pour accompagner leurs formations mécanisées. Les engins automoteurs, tels le sIG33 sur châssis de Panzer II allongé ou le canon leFH18 sur Lorraine, ne sont encore que des improvisations, qui révèlent cependant des capacités d’évolution prometteuses. Un concept qui intéresse les autorités britanniques.
+ STEYR ADGZ - Le Straßenpanzer (le « char de route »)
À la fin des années 1930, les Schnelle Truppen de l’Allemagne hitlérienne alignent un certain nombre d’automitrailleuses de reconnaissance à huit roues, ce sont les schwere Panzerspähwagen Sd.Kfz. 231, 232, et leur version radio, la Sd.Kfz. 263. Est-ce tout ? Non, c’est oublier que la Wehrmacht a récupéré des matériels similaires provenant du modeste arsenal de l’Österreichischen Bundesheer, à la suite de l’annexion de l’Autriche. Il s’agit en l’occurrence de la Steyr ADGZ, une automitrailleuse à huit roues initialement conçue pour des missions de maintien de l’ordre. Avec le véhicule chenillé Saurer Sd.Kfz. 254, l’ADGZ est le seul engin blindé autrichien conservé dans les rangs de la Wehrmacht après l’Anschluss.
+ DOSSIER Spécial Normandie - Vaincre le « Mur de l’Atlantique »
L’anniversaire des 65 ans du débarquement en Normandie est l’occasion de revenir sur les « Funnies » du Major General Sir Percy Hobart. Ces engins spéciaux, aux formes parfois étranges, ont sans nul doute permis aux troupes alliées de réussir le débarquement du 6 juin 1944. Sans eux, le Mur de l’Atlantique se serait révélé être un obstacle autrement plus redoutable, causant d’affreuses pertes parmi les soldats venus libérer l’Europe du joug nazi. Retour sur ces engins britanniques qui firent pencher la balance dans le camp allié.
+ BREDA 61 - Un Sd.Kfz. 7 à la sauce italienne !
Tout au long de la Seconde Guerre mondiale, l’Armée italienne souffre d’une motorisation insuffisante. L’essentiel de ses véhicules se compose d’engins à roues, bien peu efficaces en tout-terrain. Le déplacement de pièces d’artillerie devient alors problématique voire impossible sur des sols boueux ou des terrains enneigés. Alliée à l’Allemagne durant la première partie du conflit, l’Italie de Mussolini reçoit toutefois quelques matériels comme des semi-chenillés Sd.Kfz. 7, engins que l’industrie nationale italienne va s’empresser de copier.
+ BRUMMBÄR - Intimidant, puissant et efficace
La bataille de Stalingrad est un véritable traumatisme pour la Wehrmacht. Face à la détermination de l’Armée rouge, la 6. Armee a subi de lourdes pertes avant de capituler. Pour économiser des vies humaines, les ingénieurs et militaires allemandes décident de mettre au point un blindé d’appui-feu destiné à opérer au plus près des défenses adverses et capable de détruire, en quelques coups, les fortifications les plus solides. Surnommé « Stupa » par les Allemands et « Brummbär » par les Alliés, le Sd.Kfz. 166 va se révéler être un formidable canon d’assaut lourd parfaitement adapté au combat urbain.
+ AS 24 - La moto parachutiste
Une fois à terre, les unités de parachutistes ne peuvent souvent compter que sur leurs jambes pour se déplacer. Quelques véhicules, comme des Jeeps, ont bien été modifiés pour contourner ce handicap mais leur taille rend parfois leur largage problématique. Les parachutistes doivent disposer d’un matériel adapté à leur mission car ce qui est vrai pour l’armement, l’est également pour les véhicules qui leur sont fournis. Dans les années 1960, l’Armée française et l’Armée belge font l’acquisition pour leurs unités aéroportées d’une moto à trois roues d’une morphologie très particulière : l’AS 24.
+ DRAISINE SD.KFZ. 231 - Un engin méconnu
L’adaptation de véhicules routiers blindés à la voie ferrée est une pratique sinon commune, au moins conjoncturelle dans tous les pays ayant eu à combattre dans des zones mal pourvues de voies routières ou dans l’urgence de la situation. Si l’exemple de la Panhard P. 178 est le plus connu, on citera pêle-mêle les draisines françaises au Levant, les blindés de police Daimler de la Reichwehr, les différentes automitrailleuses BA soviétiques et les divers blindés britanniques en Palestine, aux Indes et en Mésopotamie. Durant la Seconde Guerre mondiale, l’Armée allemande n’échappe pas à la réalité du terrain et dérive des draisines de ses véhicules de combat à roues, comme la Sd.Kfz. 231 (6-Rad).
+ JEUX VIDÉOS - T-34 vs Tiger
Qu’importe les époques, l’esprit humain aimera toujours réduire une bataille à un duel à mort entre deux adversaires. Or voici justement « T-34 vs Tiger », un simulateur de chars opposant deux des plus redoutables blindés sur l’Ostfront en 1944 le T-34/85 et le Tiger. Au combat, la valeur d’un matériel et les tactiques d’emploi permettent souvent de prendre l’ascendant sur l’ennemi. Saurez-vous éviter les pièges et remporter la victoire aux commandes de votre char ?
+ COMMENT ÇA MARCHE - La furtivité multispectrale
Depuis que l’homme connaît la guerre, sa capacité à détecter son ennemi en premier est d’une importance primordiale. Les combats de chars ne font pas exception à la règle. Celui qui a le plus de chances de vaincre est celui qui peut rester indétectable, jusqu’au moment où il pourra frapper. En d’autres termes, le plus furtif a le plus de chances de l’emporter. Les constructeurs de chars actuels font des recherches très poussées sur ce sujet, afin d’augmenter le potentiel de survie de leurs engins.
+ Comparatif : Crusader Mk. II (A15) vs. M13/40
Vendredi 27 janvier 1961, les armées du Pacte de Varsovie progressent à un rythme effrayant en Allemagne de l’Ouest. Les hostilités ont été déclenchées par Moscou, sur ordre de Nikita Khrouchtchev, le 24 décembre au soir, profitant des fêtes de Noël. Rassemblées en République Démocratique Allemande sous le couvert d’innocentes manoeuvres, les divisions mécanisées soviétiques bousculent les quelques unités allemandes rassemblées à la hâte pour leur barrer la route. Les T-55 semblent ne jamais devoir stopper. Pourtant, alors que les berges du Rhin sont en vue, les Centurions de la British Army of the Rhine infligent un violent coup d’arrêt aux blindés soviétiques. Les pertes sont lourdes et l’offensive est momentanément stoppée. Après une violente préparation d’artillerie, les tankistes russes repartent à l’assaut. Cette fois, ils sont appuyés par le dernier-né de la série des chars lourds russes, le T-10M. L’état-major soviétique espère bien que leurs canons de 122 mm permettront de faire la différence. Le Royal Amoured Corps n’est toutefois pas resté inactif en attendant la reprise de l’offensive ennemie. À grands peines, les Britanniques ont rameuté dans le secteur-clef des opérations les quelques Conqueror disponibles. Le choc entre les deux chars lourds est dès lors inéluctable.

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