Grotesque - Munich ou la drôle de paix - forum "Livres de guerre"
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Edition du 13 mai 2009 à 13h39

Munich ou la drôle de paix / Henri Noguères

En réponse à
-1Teppichfresser de Christian Favre

Grotesque de Auteur anonymé le mercredi 13 mai 2009 à 09h48

"I1 me parut agité d'un tic nerveux. A chaque instant, son épaule droite se soulevait d'un geste mécanique, tandis que sa jambe gauche se détendait d'une saccade."

Comme Sarkozy ?

"Et il me raconta que, depuis quelques jours, Hitler était dans un tel état de frénésie, à cause de l'affaire tchèque, que, plus d'une fois, il avait perdu tout empire sur soi, se jetant sur le sol et mâchant le bord d'un tapis"

Grotesque.

Et pour cause, Shirer, souvent cité, n'est en aucun cas une source sérieuse.

A propos de son livre sur le IIIe Reich :

"L’ouvrage a été sévèrement reçu par le milieu historien. William O. Shanahan, dans sa recension pour l’American Historical Review, écrit que il « ne dépasse pas le niveau de compréhension le plus ordinaire » et « n’a aucunement approfondi notre connaissance de Hitler et de son action politique ». Il reproche à Shirer d’user d’une « structure historique ultra-simplifiée » et de « [ne pas prendre] la peine d’explorer les thèmes historiques et les systèmes politiques du vingtième siècle ». « De vastes lectures – parfois biaisée et avec d’importantes omissions – de sources et de travaux de seconde main ne l’ont pas conduit vers des aspects inexplorés du Troisième Reich, et il n’a pas été impressionné par la subtilité et la sophistication qui caractérisent les meilleures études sur ce thème. » Il critique également la place accordée aux informations secondaires : « La plupart des détails ont été développés car ils sont divertissants ; la plupart des choses importantes ont été écartées car elles risquaient d’ennuyer. » Shanahan reconnaît toutefois que l’ouvrage « n’est pas une lecture désagréable ou ennuyeuse. La leçon gagne continûment en intérêt pour devenir de plus en plus passionnante. Le récit, bien que pauvre du point de vue historique, est parcouru par une tension dramatique soutenue. »[3]

Elizabeth Wiskemann, dans International Affairs, le juge « trop long et massif », et tout en écrivant qu’il « se révélera certainement utile », elle ne l’estime « pas assez savant ou assez bien écrit pour satisfaire les exigences universitaires ».[4]

L’un des passages les plus controversés est formé des sections du chapitre 4 sur « Les bases historiques du Troisième Reich » et « Les racines intellectuelles du Troisième Reich ». Shirer y fait du nazisme le produit de l’histoire de l’Allemagne et du caractère national allemand : « L’acceptation de l’autocratie et de l’obéissance aveugle à des tyranneaux qui se posaient en princes s’enracina dans sa mentalité », une « mentalité perverse et détraquée »[5], écrit-il du peuple allemand. Cette vision contribua à la mauvaise réception de l’ouvrage en Allemagne.[6]

Shirer attribue en particulier une « influence immense […] sur les Allemands et sur la suite de leur histoire » à Martin Luther, « génie supérieure et complexe, passionnément antisémite et antiromain qui réunissait dans son caractère orageux tant des meilleures qualités et des pires défauts de l’Allemand – la rudesse, la grossièreté, le fanatisme, l’intolérance, la violence, mais aussi l’honnêteté, la simplicité, la disposition à l’examen de conscience, le désir ardent d’apprendre, le goût de la musique et de la poésie, le besoin d’être juste aux yeux de Dieu »[5]. Comme auparavant Ernst Troeltsch, Thomas Mann et Robert Vansittart, il voit dans sa doctrine des « deux royaumes » l’origine d’une soumission absolue des Allemands au pouvoir politique et l’un des facteurs de l’établissement de la domination totalitaire. Plusieurs spécialistes du protestantisme ont critiqué cette vision, et le théologien Uwe Siemon-Netto a spécifiquement accusé Shirer de s’être fait le propagateur d’un « mythe » repris par certaines institutions publiques américaines.[7]" (Wikipedia)

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