Bonjour René, bonjour à tou(te)s,

J'écrivais sous ce fil que les loisirs cinématographiques des Parisiens étaient strictement canalisés par la "Propaganda-Staffel". Il n'était question que de réjouir le bon peuple et de lui faire oublier les misères et servitudes de l'occupation.
Les affiches des spectacles reproduites dans le livre en rubrique, comme celle-ci : Au théâtre ce soir en témoignent.
Epinglons un détail qui n'a rien d'anodin : en hiver, les queues s'allongeaient à l'entrée des théâtres, cinémas, cabarets.... car les salles étaient chauffées.

Bien cordialement,
Francis.