quand les civils sont plus rares, les occasions d'atrocités manquent un peu. L'ami David ne m'en voudra pas, si je cite l'exemple de la petite garnison française d'un fort, massacrée par les Italiens.
Et aussi la découverte d'une caravane entière, morte momifiée sur place, dans une oasis dont les Italiens avaient comblé le puits, et nivelé avec du sable. Les indigènes n'avaient pas pu retrouver l'endroit.
(Carnets de route d'un croisé de la France Libre) |