Au sommaire du n° 20 - Batailles & Blindés - forum "Livres de guerre"
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Batailles & Blindés / Collectif

 

Au sommaire du n° 20 de Francis Deleu le jeudi 12 juillet 2007 à 11h44

Des Crocodiles sous les pommiers

Doté d’un terrifiant lance-flammes, le Churchill Crocodile fait partie des engins de combat parmi les plus craints par l’infanterie allemande. Les militaires britanniques sont parfaitement conscients du caractère spécifique de cette terrible machine de guerre capable de projeter un jet enflammé à plus de 100 mètres. Armes de contact par excellence, les chars lance-flammes nécessitent un entraînement et des doctrines d’emploi tactique totalement différentes de celles qui prévalent dans les unités blindées classiques.

Le nid de guêpes de Singling.

L’attaque sur Singling de décembre 1944 représente la poussée extrême de la 4th Armored Division dans le Nord-Est de la France. Engagée depuis le 10 novembre, partie de la région de Nancy, l’unité a connu une progression lente et difficile vers les frontières occidentales du Reich, non seulement du fait de la résistance acharnée opposée par les Allemands mais aussi d’une météo peu clémente clouant au sol les chasseurs-bombardiers alliés.

Le paradoxe russe.

Au printemps 1941, l’Allemagne se jette à l’assaut de l’Union Soviétique. Rapidement, les premiers résultats obtenus par la Wehrmacht laissent à penser que l’Armée Rouge, à l’instar de l’Armée Française quelques mois plus tôt, est totalement dépassée sur le plan de la conception de ses chars et surtout de leur doctrine d’emploi. Qu’en est-il réellement ? Dépassons les « vérités absolues » martelées par la propagande du Reich pour analyser les faits et leur enchaînement historique afin de répondre en partie à cette question.

Léo Geyr Von Schweppenburg.

Intellectuel et érudit, issu d’une longue et prestigieuse lignée d’aristocrates prussiens ayant tous ou presque embrassé la carrière des armes, Geyr von Schweppenburg intègre l’Armée impériale allemande en 1904. Il traverse la Grande Guerre ainsi que les années vingt et trente en étant au service de sa patrie. Il est nommé attaché militaire en Grande-Bretagne quelques mois seulement après l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler. À la tête d’une Panzer-Division puis d’un Panzer-Korps, il combat les Soviétiques à l’Est avant de prendre le commandement de la Panzergruppe West en France début 1944.

Le 7e BCL au combat.

Plus qu’une étude historique, cet article en deux parties se veut un témoignage et un hommage au courage et à l’abnégation des équipages du 7e BCL qui, faisant leur la devise de leur illustre prédécesseur, le commandant Bossut, se battirent « à fond et jusqu’au bout » sur leurs FCM 36 ! S’appuyant sur le journal de marche du régiment, ce texte veut décrire la préparation et l’entraînement de l’unité pendant la « drôle de guerre », ses combats puis son repli et enfin sa dissolution.

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