D'accord avec votre constat et quiconque n'a pas connu de telles circonstances ne peut prétendre en parler en connaissance de cause.
Cela étant, la justification ou la banalisation a posteriori de tels actes est dangereuse. J'ai pour ma part entendu vraiment trop d'"anecdotes" atroces - et souvent récentes; qui ne seront jamais écrites nulle part - concernant tout aussi bien des militaires que des civils sur le mode incroyablement banalisé du "bah, c'est la guerre".
Même si les circonstances peuvent parfois s'avérer exceptionnelles, un crime reste un crime et abattre un individu désarmé de sang froid et les yeux dans les yeux n'a jamais rien d'anodin, qu'on soit Allemand, Français, Russe ou Américain, qu'on soit en Europe ou en Afrique, qu'on soit en 1944, en 1958, en 1991 ou aujourd'hui.
Cordialement
V.B |