Il y a une bonne quinzaine d'années, quand je découvrais que Hitler était moins un monstre en carton-pâte que je ne l'avais soupçonné, je pensais qu'il fallait se dépêcher car tout cela ne serait bientôt que lieu commun. A présent que j'ai pu mesurer tout mon soûl les résistances que cette idée soulève encore, et qui aident d'ailleurs à comprendre comment il a pu triompher de tant d'obstacles, j'ai tendance à pardonner les avanies quand elles sont proférées de bonne foi, et à me dire que la vérité passera à son heure, par des chemins où on ne l'attend pas nécessairement.
TF 1, par exemple !
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