Objection de conscience - 22 octobre 1941 Le drame des 50 otages - forum "Livres de guerre"
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La description du livre

22 octobre 1941 Le drame des 50 otages / Franck Liaigre

En réponse à -13 -12 -11 -10 -9* -8 -7 -6 -5 -4 -3 -2
-1Père Plexe de Nicolas Bernard

Objection de conscience de françois delpla le mardi 22 mai 2007 à 16h49


Je crois que mon message précédent dit bien ce qu'il veut dire et qu'une réponse aux questions de personnes que tu poses m'éloignerait de mon objectif, qui est, je pense, d'intérêt public.

Au demeurant je note avec satisfaction que tu maintiens l'emploi du mot "soeur" dans les limites où je l'avais employé. A L-R a un courage que j'aimerais être sûr d'avoir toujours. Mais je ne le trouve pas toujours très bien employé et notamment pas dans son dernier opus, où je ne me retrouve pas... dans tous les sens de l'expression ! Ce qui est un premier reproche car je crois que je mériterais d'y figurer... et d'y prendre une volée comme les confrères.

Contrairement à l'Ukraine, sur la mortalité de laquelle je n'ai ni n'ai jamais prétendu avoir de compétence particulière, la défaite de 40 c'est ma tasse de thé et le pacte germano-soviétique, avec le rôle de Doumenc, quasiment mon premier amour ! Je ne m'en sens que plus tenu de raisonner sur les faits, et non sur les intentions, cachées ou évidentes, des auteurs.

En l'occurrence, cet article est manichéen. Pour moi, il n'y a pas à trancher entre un Staline traître envers les démocraties occidentales au profit de la dictature nazie et un brave Staline contraint de signer avec Hitler pour éviter de faire la guerre seul, mais n'attendant pour le combattre que le ressaisissement de l'Occident. Les deux sont tout aussi mythiques, même si les mythologies, de signe politique opposé, ont chacune des partisans bourrés de bons sentiments. Et je conçois mon rôle d'historien, non pas comme un renvoi dos à dos, mais comme un effort pour comprendre ce qui se passe et donner au citoyen les moyens d'un jugement étayé.

Je radote peut-être mais bon, puisque personne ne l'a encore dit et notamment pas toi, cher Nicolas, je trouve que dans ces analyses gémellairement rivales Hitler n'est pas à sa place. Il mène Staline par le fond de la culotte, et Chamberlain, Daladier, Reynaud... aussi. Et il est sous-estimé par tous ces gens-là, et par la majorité de leurs biographes. Donc la thèse, contemporaine des faits, récurrente depuis et vigoureusement rajeunie par ma consoeur, d'un complot pour lui livrer la France, tombe.

*** / ***

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 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes