Une partie du corps expéditionnaire français cessait le combat face à la fine fleur de la démocratie et de la justice sociale.
C'est alors que le Viet Nam a accédé à la liberté et à la prospérité, est devenu le phare rayonnant de civilisation, qui suscite les envies dans tout le Sud Est asiatique, voire dans le monde.

Son peuple, dynamique et industrieux, a fait connaître sur toute la planète les rouleaux de printemps et le nuoc mam;
merci à la fine fleur.

Sans parler de l'induscutable amélioration à la navigation de plaisance, instaurée par les boat people en mer de Chine.

Quitte à parler de fine fleur, et puisque nous nous exprimons ici en français, il serait plus décent de qualifier en ces termes les jeunes soldats français d'aprés 1945, partis en ces terres lointaines pour conserver l'Indochine à la France, alors qu'il était si simple de rester en France, pour profiter des heureuses années d'aprés guerre.
Il a existé des VOLONTAIRES, à Saigon, n'ayant jamais sauté en parachute, qui sont partis se faire jeter dans la cuvette menacée!
Même les congaïes du BMC du camp retranché, le moment venu, sont venues aider les dernier combattants à approvisionner les dernières bandes de mitrailleuses. Elles n'en voulaient pas, de la "liberté" apportée par la fine fleur des massacreurs du viet minh.

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D'ici, je vous revois, couchés à fleur de terre,
Dans la fosse hâtive où je vous ai laissés,
Rigides, revêtus de vos habits de guerre,
Et d'étranges linceuls faits de roseaux tressés.
Si parfois dans la jungle où le tigre vous frôle,
Et que n'ébranle plus le recul du canon,
Il vous semble qu'un doigt se pose à votre épaule,
Si vous croyez entendre appeler vore nom,
Soldats qui reposez sous la terre lointaine,
Et dont le sang versé me laisse des remords,
Dites vous simplement, c'est notre capitaine,
Qui se souvient de nous, et qui compte ses morts.
Capitaine Borelli, Légion Etrangère.