il nous instruit sur la réception de ce livre par une certaine intelligentsia historienne, et sur la persistance de la calomnie dix ans plus tard (ou accessoirement les compressions de personnel qui font qu'à Libé on ressort une archive sans se demander une seconde si elle a bien ou mal vieilli).
Ça m'a induit en erreur au point que j'ai sérieusement cru durant quelques heures que Chauvy avait sorti ces jours un bouquin consacré au testament(eur) de K. Barbie... Pas très pro, ça ! Quand J. Baynac écrit que certains historiens avaient condamné son livre précédent sans l'avoir ouvert, ça ne m'étonne plus !

RC