L'essai de Pascal Bruckner - Le livre noir du colonialisme - forum "Livres de guerre"
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La description du livre

Le livre noir du colonialisme / Marc Ferro

 

L'essai de Pascal Bruckner de René CLAUDE le mercredi 04 octobre 2006 à 11h09

Télérama (dont la nouvelle campagne pub punky-punchy fait quelques vagues !) a mis en ligne un compte-rendu de l'essai de Pascal Bruckner sur la culpabilité occidentale par rapport aux pays qui furent des colonies. Ce Sanglots de l'homme blanc II fait lui aussi des vagues :
Extrait de la critique :
L’Occident, au nom de son passé impérialiste et colonial, devait-il se sentir coupable de la misère du tiers-monde, du fossé sans cesse grandissant entre pays riches et pays pauvres ? Devait-il, au nom de cette faute, ce péché originel ineffaçable, en venir même à accréditer d’inacceptables dictatures et des causes idéologiques difficilement défendables, au Cambodge, en Afrique ou à Cuba ? Non, répondait sans ambages Bruckner.
Ce Sanglot fit grand bruit, les thèses de l’auteur suscitèrent des élans de sympathie et des flambées d’indignation. Pourquoi y revenir vingt-trois ans après ? «Je pensais que, deux décennies après Le Sanglot de l’homme blanc, cette question de la culpabilité occidentale était à peu près réglée, explique aujourd’hui Pascal Bruckner. Puis est survenu le 11 septembre 2001 et l’attentat contre le World Trade Center. Le lendemain de la destruction des tours, un journaliste qui m’interrogeait sur les attentats a fait cette réflexion : “On peut comprendre, quand même, vous vous rendez compte, ces tours de 400 mètres de haut ! Quel orgueil, quelle arrogance, ces Américains !” Puis, deux ans et demi plus tard, ce furent les attentats de Madrid, et en entendant les réactions, qui m’ont semblé tellement compréhensives vis-à-vis des terroristes, j’ai dû admettre qu’au fond rien n’avait changé. Nous autres, Occidentaux, demeurons les éternels fautifs.» Sur le métier, Pascal Bruckner a donc remis son ouvrage. La Tyrannie de la pénitence que dénonce une fois encore Pascal Bruckner, c’est donc la complaisance de cet « usage répété du scalpel contre soi», symptôme d’une incapacité à gérer sereinement la mémoire du passé, d’un engluement dans la mauvaise conscience.

Lire :
L'hebo organise un tchat avec le philosophe.

RC

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