Meuh non, je ne cause pas de Jacques mais de Delphine Seyrig, la fille du professeur Henry Seyrig et la sublime héroïne du film d'Alain Resnais, "Hiroshima mon amour" !
Lors des combats fratricides au Levant, Henry Seyrig était directeur du "Service des Antiquités en Syrie et au Liban". Au coeur des évènements, il en fut le témoin privilégié. Son témoignage, daté de 1942, fut publié par la revue "Espoir". Seyrig y évoque cette période trouble : la présence des Allemands en Syrie, les compromissions de Dentz, celles de Vichy... l'engrenage de la collaboration souhaitée par Darlan ....
Ah oui! Le motif de mon intervention ? Que dit de Wailly à propos du professeur Seyrig ?
Bien cordialement,
Francis. |