C'est dans la cour de l'école militaire, à l'endroit précis où Dreyfus avait été dégradé, que Moshe Dayan a été décoré, en 1954. On avait pu croire à ce moment que la page était tournée, et que l'armée française avait exorcisé ses démons.
Hélas, la "phrase malencontreuse" (euphémisme) que vous mentionnez disait "que Dreyfus était en réalité bien coupable, mais que les juifs avaient réussi à lui sauver la mise!"
Et c'est reparti pour un tour. Pour le bicentenaire, peut être? L'espèce des ganaches sectaires sera peut être une race disparue, en 2106 ?
Quant à Zola, et son attitude courageuse, elle ne lui a jamais été pardonnée, et selon certains auteurs, sa mort accidentelle n'aurait rien d'accidentel.
Bon, voilà que je m'enerve encore. |