Arcole a raison de relever quelques-unes des innombrables incohérences de ce genre de production (je n'en avais d'ailleurs personnellement par vu la moitié). Reste que pour ce type de production et le grand public auquel il est destiné, il s'agit d'une des rares évocations accessibles de ces évènements trop oubliés ou très vite caricaturés. Les traits sont en effet trop ou trop peu forcés, les détails souvent anachroniques, certains dialogues au mieux improbables, mais le rendu final ne me paraît pas si mauvais.
Un mi-chemin bienvenu entre WE à Zuidcoote (en effet) et la 7e compagnie. C'est déjà pas mal...
PS: Quant à l'institutrice (Elsa) et à sa conduite, rien n'est totalement impossible. J'ai bien une grand-mère qui fut pilote de Rallye juste après la guerre... |