A vrai dire, ce texte admirable discrédite à jamais les brillants esprits de la collaboration, voire même les nostalgiques, restés depuis plusieurs générations les vassaux de l'Allemagne, tout en se prétendant nationalistes.
Encore, les coupables avaient ils, eux, l'excuse d'avoir cru que l'Allemagne allait gagner la guerre, et espéraient ils "sauver les meubles" au détriment de l'honneur.
Ceux qui tentent de perpétuer l'effroyable erreur n'ont même plus cette excuse.

Jamais auparavant, ni depuis, dans l'histoire des conflits humains, des gens n'ont affiché aussi bruyamment, avec la même indécence opiniâtre, leur nostalgie de l'oppression de leurs vainqueurs.


"L'Honneur, le bon sens, l'intérêt supérieur de la patrie".
Le dernier vrai nationaliste français aura été Charles de Gaulle, qui s'opposa tout autant à Churchill et Roosevelt qu'à Hitler et Mussolini.

Les autres, bof, des supplétifs ordinaires.