Le front de l'Est ; une lutte à mort - Normandie Niemen - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

Normandie Niemen / Yves Courriere

En réponse à -2
-1le glorieux Neu Neu de arcole

Le front de l'Est ; une lutte à mort de Laurent Laloup le mercredi 06 avril 2005 à 22h22

Ce qui m’a surpris à la lecture des livres de Sauvage et de Courriere, c’est de constater à quel point le front de l’Est avait désensibilisé les hommes, aussi occidentaux, aussi civilisés soient-ils. Ainsi même les « de », raille Courriere , comme les pilotes de Saint-Marceau et de la Salle , traditionnels défenseurs de la veuves et de l’orphelins, pillent une vieille allemande en pleures, de ses quelques laitues. Le sort des civils allemands ne leur importe peu. On s’amuse a leur faire peur en les menaçant de « Siberie ». Mitrailler une colonne en retraite ne choque pas, même si bien entendu , elle est composée de civils en majorité.
Car ce fut une lutte à mort veritablement inimaginable.





« Les renseignement du front indiquent qu'en Livonie, Courlande, Galicie et Transylvanie les minorités ethniques allemandes réimplantées depuis 1941 fuient l'implacable avance des troupes soviétiques dans l'exode le plus effroyable de la seconde guerre
Avalanche humaine, horreur quotidienne, femmes et enfants terrorisés attelés aux chariots de ferme, aux luges, aux tables renversées transformés en traîneaux. Morts par centaines, par milliers, on ne compte plus. Morts de froid, d'épuisement, de faim, écrasés sous les bombes, hachés par les mitrailleuses .
Pas de pitié . Il faut avancer, en finir avec l'hydre nazie acculée dans sa caverne. Eichenbaum, de retour du front, raconte comment, dans les faubourg d’Insterburg en flammes, il a vu « repasser « ¯ un immense rassemblement de troupes allemandes prêtes au départ pour Koeningsberg . Il n'est pas méchant, Igor, mais il en a tant subi qu’il exprime dans son horrible récit toute la jubilation du monde. Il a échappé‚ dix fois à la mort, il s'est indigné‚ entre Norkitten et Auloweinen devant les rapines des nazis : des hangars regorgeant de milliers de tapis, de postes de radio, de caisses de cognac, de cristaux de Bohême, de meubles splendides, richesse arrachées à des populations déportées, il a pleuré à Wenenfeld de devant les cadavres de soldats soviétiques des troupes d'assaut, prisonniers, arrosés d'essence et brûlés vifs.
Alors, chacun son tour. On ne va pas s'émouvoir pour autant! La victoire est à portée de la main. »


Y Courriere

Laurent

*** / ***

lue 1796 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes